Cette réunion a lieu mardi 18 septembre 2012 à 20h à la maison des jeunes (62 rue du tapis vert) à MELLE.
Mot-clé - Circuits-courts
mardi, 11 septembre 2012
Rencontre avec les maraîchers : projet de partenariat
Par Anne-Sophie le mardi, 11 septembre 2012, 22:00 - L'association au quotidien
mardi, 3 juillet 2012
Goûtons un monde meilleur !
Par Caroline le mardi, 3 juillet 2012, 15:35 - Les articles qui nous intéressent
Téléchargez le guide "Goûtons un monde meilleur" !
... pour une alimentation respectueuse de la nature et des hommes.
vendredi, 22 juin 2012
Tous Consom'acteurs ? Pourquoi pas !
Par Caroline le vendredi, 22 juin 2012, 10:07 - Nos voisins font des trucs bien !
Ne manquez pas le prochain Forum régional de l'environnement le dimanche 1er juillet de 10H à 19H au Parc de Blossac. La Région Poitou-Charentes, la Ville de Poitiers et l'association GRAINE Poitou-Charentes vous proposent de partager les savoir-faire qui permettent de consommer autrement, de manière ludique et festive.
Plus d'informations ici !
lundi, 14 mai 2012
Les circuits courts alimentaires ne sont pas vertueux par nature
Par Caroline le lundi, 14 mai 2012, 09:15 - Les articles qui nous intéressent
Source : Localtis.info Publié le vendredi 11 mai 2012
© Mascimento / REA
Pour l'Ademe, les circuits courts de proximité présentent un potentiel important de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de réduction de la consommation d'énergie à condition de veiller au respect de la saisonnalité des produits et à l'optimisation de la logistique.
La vente de produits alimentaires en circuits courts de proximité n'a-t-elle que des effets positifs pour l'environnement ? A première vue, la question ne mérite même pas d'être posée tant la réponse semble évidente aux consommateurs. Dans un avis qu'elle vient de publier, l'Ademe apporte pourtant un jugement plus nuancé après avoir tenté de décortiquer le bilan environnemental de ces circuits de production et de commercialisation. Deux critères les caractérisent – la vente directe ou avec un intermédiaire et une distance généralement inférieure à 150 km entre le lieu de production et celui de consommation. Si l'image qui vient spontanément à l'esprit est celle de la vente directe à la ferme et sur les marchés, les circuits courts alimentaires recouvrent un large éventail de situations : points de vente collectifs et Associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (Amap) qui fonctionnent sous forme de contrats entre producteurs et consommateurs qui s'engagent à acheter une partie de la production pendant une période donnée, vente en tournée, à domicile ou avec un point relais de livraison, sur le lieu de travail par exemple, restauration hors domicile, collective ou traditionnelle, faisant appel à des fournisseurs locaux. Sans oublier les commerces de proximité, la grande distribution (marque "petits producteurs") et la vente à distance (commandes groupées par internet, par exemple).
Des impacts environnementaux relocalisés
Difficile, vu cette grande diversité, d'affirmer que l'impact sur
l'environnement des circuits courts est meilleur ou moins bon que les
autres formes de commercialisation, prévient l'Ademe. Il faudrait
étudier l'ensemble du cycle de vie de l'aliment (production,
transformation, conditionnement, transport…), prendre en compte les
impacts énergétiques, climatiques, ou encore sur l'eau ou la
biodiversité mais peu d'études répondent à ce besoin. L'Ademe s'est donc
limitée à mettre en avant "certains bénéfices et points de vigilance"
des circuits courts. L'Agence voit comme principal point fort en matière
de production la "relocalisation des impacts". Sur le plan
environnemental, la localisation des productions sur les territoires de
consommation présente trois grands avantages : les productions
françaises sont soumises aux réglementations nationales et européennes
en vigueur, "parmi les plus exigeantes", ce qui n'est pas nécessairement
le cas de productions plus lointaines; le maintien d'une agriculture
périurbaine peut limiter l'étalement urbain et donc préserver la qualité
de sols souvent fertiles ; la recherche d'une certaine autonomie
alimentaire, en produisant localement pour répondre aux besoins,
sécurise les approvisionnements, l'économie locale et évite la
délocalisation des impacts.
La plupart des exploitations ayant recours aux circuits courts sont de
petite taille, proches de l'agriculture biologique ou labellisées bio.
Mais si elles consomment moins d'intrants, elles peuvent aussi s'avérer
moins productives qu'une exploitation intensive qui aura mieux optimisé
les intrants rapportés à la tonne de matière produite, souligne
toutefois l'Ademe. Autre point de vigilance : la saisonnalité des
produits. "Des aliments produits localement mais 'hors saison' sous
serre chauffée pourront consommer plus d'énergie et rejeter plus de gaz à
effet de serre que des produits importés de pays où ils sont cultivés
en plein air, même en incluant le transport", met en garde l'Agence.
Optimiser la logistique
L'Ademe appelle aussi à optimiser la logistique. "Si dans le cadre
des circuits courts les produits parcourent une distance plus faible,
les consommations d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre ne
sont pas pour autant systématiquement plus faibles, prévient-elle.
Ramenées au kilogramme de produit transporté, elles peuvent parfois même
être plus élevées". Selon ses calculs, les émissions par kilomètre
parcouru et par tonne transportée sont environ 10 fois plus faibles pour
un poids lourd de 32 tonnes et 100 fois plus faibles pour un cargo
transocéanique que pour une camionnette de moins de 3,5 tonnes car ils
permettent de parcourir de plus grandes distances à impact gaz à effet
de serre équivalent. Ces impacts énergétiques et en termes d'effet de
serre de l'alimentation sont également fortement liés au déplacement du
consommateur pour acquérir les produits : dans le cas de la vente
directe, celui-ci peut en effet être amené à se déplacer davantage si
les points de distribution sont dispersés. Il faut donc veiller à les
organiser au plus du consommateur, voire à les regrouper, recommande
l'Ademe qui insiste sur l'importance de la logistique (adéquation moyen
de transport/volume transporté, optimisation du circuit de livraison,
remplissage du camion…) pour la performance des circuits courts.
Enfin, l'Ademe leur trouve deux autres qualités : la réduction des
déchets de conditionnement - dans la plupart des circuits courts, les
produits bruts sont peu ou pas emballés et les conditionnements liés au
transport souvent réemployés – et un moindre recours aux procédés de
conservation, fortement consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à
effet de serre dans le cas des fluides frigorigènes.
Anne Lenormand
jeudi, 10 mai 2012
Rencontre Alterfoncier
Par Caroline le jeudi, 10 mai 2012, 09:44 - Actualité de nos producteurs
Suite à l’acquisition par La Foncière Terre de Liens de 14ha de terre pour soutenir le projet Alterfoncier, le collectif Alterfoncier vous invite à venir visiter la ferme d’Etienne Gautreau et échanger des suites du projet :
Dimanche 13 mai à 10h
La Vacherie- St Léger de la Martinière
Programme :
- Retour du diagnostic agro-environnemental réalisé par le CIVAM
- Visite de la ferme
- Pique-nique (merci à chacun d'apporter son panier et de prévoir des bottes
pour se balader dans les champs)
Contact Terre de Liens Poitou-Charentes :
O5 45 67 79 46 ou pc@terredeliens.org
lundi, 26 mars 2012
Réunion-débat sur l'alimentation à Cherveux
Par Caroline le lundi, 26 mars 2012, 13:03 - Nos voisins font des trucs bien !
Dans le cadre de ses débats citoyens, l'association Les rendez-vous citoyens organise une réunion débat sur le thème suivant : « Du producteur au consommateur », les circuits-courts dans la restauration collective et l'alimentation individuelle.
Ce mardi 27 mars à 20h30 à la salle des associations de Cherveux.
La soirée va voir la participation de Jean-Luc Drapeau, président, et Catherine Julan, directrice de la « Mission nutrition alimentation Poitou-Charentes », Emmanuel Bailly, chef du projet « Réseau pour une alimentation locale innovante et solidaire (Resalis) » du conseil général, et Sylvaine Moreau de l'association locale Les zénocologiques qui fait la promotion des achats bio et locaux.
Il est possible de faire part d'observations ou de poser des questions ou encore relater des expériences sur le site suivant : lesrendezvouscitoyens@gmail.com
Source : la NR 22/03/2012
jeudi, 19 janvier 2012
Film « Les déportés du libre échange » de MM Robin
Par Caroline le jeudi, 19 janvier 2012, 21:48 - Les articles qui nous intéressent
Documentaire sur l'ALENA, l'Accord de libre échange nord Américain
diffusé sur ARTE, le 4 février à 18 heures 50. C'est la première
production de M2Rfilms!
Depuis l’entrée en vigueur de l’Accord de libre échange nord-américain
(ALENA) en janvier 1994, trois millions de petits paysans ont rejoint
les bidonvilles de Mexico ou tenté leur chance clandestinement de
l’autre côté du Rio Grande. Auparavant autosuffisant d’un point de vue
alimentaire, le Mexique importe aujourd’hui des Etats-Unis 40% de ses
aliments. En janvier 2007, la flambée du prix de la tortilla de maïs,
aliment de base de la population, a provoqué d'inédites émeutes de la
faim. .
http://robin.blog.arte.tv/2012/01/12/bonne-annee-tous-sur-arte-le-4-fevrier-a-18-heures-50/
dimanche, 20 novembre 2011
Conférence "Agriculture, environnement et santé"
Par L'assos' Bêche à Melle le dimanche, 20 novembre 2011, 17:06 - Nos voisins font des trucs bien !
Biodiversité et agriculture ont toujours été intimement liées. Pourtant, le développement d’une agriculture productiviste à partir du milieu du XXe siècle s’est fait au détriment de l’environnement, des agriculteurs et de la qualité des productions alimentaires.
Philippe DESBROSSES
Agriculteur, docteur en Environnement,
fondateur-animateur depuis 1973 des principales organisations nationales
et internationales d’Agriculture Biologique et écrivain, Philippe
Desbrosses est un des pionniers de l’agriculture biologique en Europe.
Il fut à l’origine de la création de la plupart des mouvements de
l’officialisation de
l’agriculture biologique. Il est Directeur général de la Ferme de Sainte Marthe et Président de l’association Intelligence Verte.
Serge ORRU
Entrepreneur
et entreprenant, Serge Orru est un homme qui aime les défis, les
métissages et les rencontres. Depuis près de vingt ans, son credo est de
faire se renouer le lien entre l’humain et son environnement et
d’allier culture et nature. Aujourd’hui, engagé dans de nombreux
organismes, il est notamment directeur Général du WWF France depuis le
1er juillet 2006.
dimanche, 13 novembre 2011
Conférence : « Les circuits courts alimentaires de proximité »
Par L'assos' Bêche à Melle le dimanche, 13 novembre 2011, 23:05 - Nos voisins font des trucs bien !
L'Université Rurale du Lezayen propose une conférence sur le thème :
« Les circuits courts alimentaires de proximité »
Le mardi 15 novembre 2011
à 18h00
Point Public 5, rue Gâte Bourse à LEZAY
Entrée Gratuite
Avec :
Jacques Mathé : Professeur-associé Université de Poitiers, Économiste CER FRANCE. Co-auteur du livre « Une Agriculture qui goûte autrement » : le consommateur bouge, les producteurs s'adaptent. Les facteurs clés du succès des productions locales.
Animation Christian Lemaignan (Espace Mendès France Poitiers)
Intervenants locaux :
. Fabrice Rousseau : L'Epicerie Fermière de Melle
. Étienne Gautreau : Producteur de Viande, vente en caissette
. Françoise Le Chanjour : La desserte locale, circuit court par Internet
. Emmanuel Bailly : Projet Approvisionnement Restauration du CG79
Échanges et débat avec la salle
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