Quand nos aïeuls festoyaient, ils avaient un bon coup de fourchette et un estomac solide!

La carte des vins ne figure pas en regard des plats. Dommage, car pour ingurgiter tout ça, il fallait l'arroser copieusement!



La "Rosière" n'avait pas le privilège de ces agapes: en effet, à la fin du livre de Mme Jeanne Philipe-Levatois "Cuisine de Poitou et de Vendée" (Editions du Marais 1968), on trouve des menus de fêtes et évènements divers, tels que celui du 6 mars 1886.

On notera qu'en cette fin du XIXème siècle, les huîtres et le saumon étaient appréciés, plats qu'on retrouve dans plusieurs autres menus de la même époque.